L’art est truffé d’erreurs…

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Agir ad sanctus :

        On ne peut pas vraiment nous reprocher de produire ni des faux ni des copies. Un détracteur, croisé sur notre chemin et que nous ne côtoyons que de loin, qualifiera la barre corrigée « d’objets s’apparentant à… » marginalisant ainsi notre ouvrage. Il a bien raison, c’est bien un objet ! Mais obéissant, cette fois ci, à certaines règles rigoureuses. Il ne faut pas tout rejeter dans les marges de l’art, à l’insigne du machin à tendance bidulaire. D’autant que la marge, artistique ou non, c’est bien l’espace du correcteur. Cette marge bénéficiaire nous l’avions quelque peu choisi et nous croyons encore que celle-ci s’imposait. Nous rappeler que nous y sommes, c’est bien aimable certes, mais cela manque éventuellement d’un peu d’outre évidence, que même un honnête marchand devrait comprendre. Voyez on ne parle là pas de manque total de réflexion, mais d’une certaine lacune mineur. Nous sommes modérés. Mais il ne parlait là que du produit de notre art que nous aimerions être des plus remarquables, dans la place que nous lui avons assigné : la marge… Déborde-t-il tant qu’on viennent nous faire remarquer d’en rabattre ? Nos corrections sont pourtant vérifiées et mesurées comme vous ne manquerez, cher détracteur, pas d’en convenir. Quoiqu’il en soit sortant à nouveau, du champ, vous nous laissez coi…